C’est paradoxal d’exprimer le silence par les mots. Une page blanche aurait-elle suffi pour évoquer le silence, pour dire tout ce que le silence EST ?…
La même assise, elle n’est jamais pareille, mais demeure inchangée en même temps et pour tout le temps.
Ce temps qui nous traverse, que nous traversons…
Qui est celui qui reste assis ? Celui qui n’est pas affecté par le temps ni limité par l’espace ?
Assis en silence, le grand mystère s’éclaircit puis se résout.